statcounter

Tuesday 12 January 2010

HADOPI encore: le Logo signe d'une rupture?

1/ Je voudrais bien qu'on eclaircisse le probleme de la licence d'exploitation des fonts deposee pour le compte de France Telecom si j'ai bien suivi le debat. Il y a de fortes raisons de penser qu'il s'agirait d'une oeuvre de commande, dans quel cas, les droits d'exploitation appartiendraient a France Telecom, l'auteur conservant son droit moral.
Les droits representants un asset financier de France Telecom, entreprise privatisee, l'en depouiller causerait un dommage aux actionnaires(voire detournement de bien sociaux...)et necessiterait une decision des instances representatives de France Telecom.

2/ au vu de toute cette multitude de logos, je ne peux qu'avoir une reflection: TANT DE TALENTS GACHES!!
Au-lieu d'entreprendre une attitude de sanction et de guerre aux internautes, qu'on eduque ces Ministres et Deputes qui decidemment ont bien du mal a saisir les specificites de l'internet - on ne peut leur en vouloir, il ne sont pas nes avec. Ils comprendront peut-etre qu'aucune censure, surtout nationale, ne fait effet dans le monde digital ou la technologie evolue bien plus rapidement que la reglementation. Eh oui, Monsieur Herve Morin, croyez bien Fabrice Epelboin a chaque fois qu'il vous dira 'ca peut etre hacke'.
Ne cherchons pas a faire de la France le 'Village idiot de l'internet'. Associons les internautes a leur devenir au lieu de les sanctionner. S'ils avaient au moins organise un concours de logo pour HADOPI, n'auaient-ils pas ete mieux soutenus?

3/ L'internet est encore un outil tres neuf, laissons-le faire son machin, organisons des reflections, des recherches entre juristes, techniciens, internautes et politiciens pour trouver une mediation pour preserver les droits respectifs de chacun.

4/ l'EDUCATION est la premiere des demarches a entreprendre, la seule regulation qui tienne aujourd'hui est celle qui permettrait l'equilibre et la balance du respect de vie des internautes et de leur vie privee. Au-lieu de cela HADOPI donne le mauvais exemple en instituant non seulement la censure mais pis encore: LA SURVEILLANCE et le FLICAGE.

Nous attendons, la prise de position de la Secretaire d'Etat au numerique qui a pris son temps de reflection. Commencons au plus vite le dialogue, cessons la censure et le flicage. Le Deep Packet Inspection ne restera pas une exclusivite de l'autorite publique une fois que le principe aura ete admis, la technologie se developpera pour etre exploiter pour des causes moins nobles que la defens4e des intetrets de l'industrie de la musique. Vigilence!

No comments:

Post a Comment